Comment bien investir ?

Où placer votre argent ? C’ est la question que de nombreux épargnants se posent. Les Français économisent une part importante de leurs revenus, soit environ 15% en moyenne. Bien sûr, ce taux est encore plus élevé parmi les classes moyennes supérieures et riches (CSP ). Pourtant, malgré ce taux d’épargne élevé, de nombreux épargnants ne connaissent pas les différents types de placements et ne savent pas bien investir leur épargne. C’est ce que note l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) dans sa dernière étude.

En conséquence, de nombreux épargnants n’ investissent pas leur argent de manière optimale. En effet, ils manquent des investissements qui offrent les meilleurs rendementset ne bénéficient pas toujours des optimisations fiscales existantes en France . Conséquences : une perte significative de revenus et une vie moins riche que cela pourrait être. Alors, comment investir bien ?

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Dans cet article, nous voulons concret, nous vous présentons 3 cas pratiques communs et faciles à comprendre. Premier le cas de Julie, une jeune personne active qui veut préparer un achat immobilier. Puis Guillaume, déjà propriétaire, qui veut économiser pour créer un revenu supplémentaire. Et enfin Marc, 40 ans avec des objectifs similaires à ceux de Guillaume, mais avec une plus grande capacité d’épargne. Ces cas pratiques peuvent être une source d’inspiration pour la plupart des épargnants français .

Les aînés auront également intérêt à réfléchir à leur épargne en tenant compte des problèmes liés à la question de l’héritage. Nous avons publié un article consacré à ce sujet : 4 façons d’optimiser le transfert de richesse en minimisant les droits de succession.

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RÉSUMÉ

  • Julie : investir pour préparer un achat immobilier
  • Guillaume : investir pour créer un supplément de revenu
  • Marc : dynamiser sa richesse pour financer ses projets à long terme
  • Investir son argent : conclusion
  • Foire aux questions pour investir son

argent Julie épargne pour préparer un achat immobilier

Julie a 24 ans, est diplômée il y a 1 an et est entrée dans le monde du travail. Elle reçoit un salaire de 1 700 euros par mois et économise environ 350 euros par mois (environ 20 % de capacité d’épargne). Notez qu’elle a le bon réflexe : payer d’abord, avant de tout dépenser. Son salaire devrait augmenter dans les années à venir. Julie n’exclut pas de changer d’employeur pour accélérer sa carrière. Elle est donc mobile et ne prévoit pas d’acheter sa résidence principale avant 5 ou 6 ans, quand elle sera posée professionnellement et famille (Acheter ou louer ? Notre article).

Les investissements actuels de Julie : le tout dans le livret A !

Julie essaie de trouver comment investir son argent . Elle bénéficie actuellement d’une économie de 8 000€, entièrement placée sur son livret A (rendement de 0,75 %). Cette épargne ne lui a valu que 60 euros d’intérêt l’an dernier. Les économies de Julie sont vouées à croître dans la années à venir, alors elle se demande comment optimiser ses investissements.

Julie doit obtenir sa contribution pour un futur achat immobilier, elle doit donc se diriger vers des investissements avec une garantie sur le capital investi. Les fonds en euros sont l’une des solutions d’investissement qui répondent à ses critères.Les meilleurs fonds en euros gagnent encore près de 3% par an.

Dans la pratique, des fonds en euros sont disponibles dans le cadre d’un régime d’assurance-vie. Sachez que les meilleurs courtiers offrent une assurance vie qui ne facture pas de frais de remise ou de retrait. Alors que les banques traditionnelles ne donnent pas toujours accès aux meilleurs fonds en euros, et sont malheureusement trop lourdement surchargés de frais de gestion et de frais de décaissement. Julie aura donc un intérêt à se renseigner sur la meilleure assurance vie avant de contracter un contrat.

Avant l’optimisation, un livret peu payant

Avant l’optimisation, Julie a placé tout son argent (8.000 euros) et sa capacité d’épargne mensuelle (350€) sur un livret A avec un rendement de 0.75%, ce qui ne lui valait que 60 euros par an. Julie a envisagé d’ouvrir un plan d’épargne-logement (PEL), mais les nouveaux PEL ne paient que 1 % brut (0,70 % après impôt forfaitaire). Par conséquent, pas intéressant, d’autant plus que tout retrait d’argent du PEL rompt le PEL. Enfin, le PEL est moins liquide que le livret A et encore moins rentable.

Après optimisation : vers un meilleur investissement tout aussi liquide pour la contribution immobilière, mais plus rémunératrice

livret A offre une très faible rentabilité, Julie a décidé de ne laisser que l’argent dont elle pourrait avoir besoin à court terme en cas de situation inattendue ou pour financer des dépenses non courantes (électroménagers, vacances, etc.). Elle ne laisse désormais que 3 000 euros sur son livret A, à titre de précaution. Pour le reste de ses économies, elle prévoit améliorer son argent. Étant donné que le

Julie a ouvert une assurance-vie sur laquelle elle a payé tout le reste de ses économies (5 000 euros). Chaque mois, Julie guide sa capacité d’épargne avec un paiement de 350 euros pour alimenter son assurance vie. Julie a opté pour une assurance vie gratuite sur paiement et retrait , le fonds euro étant toujours classé parmi les meilleurs des années.

Résultat pour Julie qui prépare son achat immobilier ?

Dorénavant, Julie s’attend à gagner environ 160 euros par an (22,50 euros sur le livret A et non loin de 140 euros sur son assurance-vie, sur la base d’une performance du fonds en euros similaire à celle de 2018). C’est plus du double de ce qu’elle aurait gagné en laissant tout son argent sur son livret A. Et c’est sans compter les intérêts supplémentaires générés par les 350 euros qu’elle paiera chaque mois, de sorte que le gain augmentera avec le temps.

Si l’assurance-vie atteint 8 ans, Julie pourra faire un retrait en bénéficiant d’une réduction significative sur l’impôt bénéfice (4 600 euros par an) est l’un des grands avantages de l’assurance vie. Si Julie a besoin de l’argent qu’elle a investi dans l’assurance-vie avant l’âge de 8 ans, elle pourra faire un retrait (appelé rachat partiel), mais les gains seront alors imposés à l’impôt forfaitaire de 30 %. Même dans ce dernier cas, la déclaration de revenus nets demeure presque trois fois supérieure à celle qu’elle aurait gagnée sur le livret A.

Jusqu’ à ce que Julie ait besoin de ses économies, les intérêts du fonds euro sont automatiquement réinvestis (« effet de cliquet ») avec un minimum de « frictions fiscales ». Ainsi, ses économies grandissent d’autant plus vite , c’est l’effet boule de neige de l’intérêt composé !

L’ avis de Nicolas  : en poursuivant cette discipline de gagner du temps (« payer d’abord »), Julie se met dans les meilleurs arrangements pour mener à bien son projet d’achat immobilier. D’une part, il construit un bon approvisionnement à acheter et d’autre part, il montre une patte blanche au banquier qui va peler son comptes quand il s’agit d’emprunter. En effet, les banques apprécient ce type de profil client : contribution preuve de discipline de l’épargne régulière. Par conséquent, elle obtiendra une meilleure capacité d’emprunt et un meilleur crédit à un meilleur taux que le client moins raisonnable.

Guillaume investit pour créer un supplément de revenu

Guillaume a 30 ans et possède déjà. Il gagne 2 500 euros par mois et économise environ 500 euros par mois, ainsi qu’une partie de ses primes annuelles. Ses économies s’élèvent maintenant à 40 000 euros. Dans cet article, nous étudierons les investissements de Guillaume et verrons comment il pourrait optimiser sa répartition de fortune afin d’obtenir un meilleur rendement tout en conciliant ses investissements avec ses ambitions.

Les investissements actuels de Guillaume : PEL et livret A

Guillaume n’a jamais vraiment pris le temps d’essayer d’optimiser ses investissements. Sur les conseils de son banquier, Guillaume a ouvert un plan d’épargne-logement (PEL) en janvier 2016, avec un retour que était encore 2% à l’époque. Il y a investi 30 000 euros. Le reste de son épargne, 10 000 euros, est investi dans son livret A, dont le rendement est actuellement de 0,75%. Les intérêts perçus sur le PEL sont de 600 EUR et les intérêts perçus sur la brochure A sont de 75 EUR. Le rendement moyen des actifs de Guillaume est de 1,7% (675€ d’intérêt pour 40 000€ d’investissement).

Problème : selon l’INSEE, l’inflation était de 1,8 % en 2018. En d’autres termes, Guillaume n’a pas vraiment gagné de l’argent l’an dernier, parce que la rentabilité de ses investissements ne couvrait pas l’inflation . Donc, en réalité, Guillaume a perdu de l’argent en valeur réelle net de l’inflation.Il convient de noter que ce type de situation est exacerbé par le contexte économique actuel : la chute des taux obligataires est accompagnée d’une baisse des rendements des investissements garantis (brochures, PEL, fonds euro, etc.), ce qui met les épargnants à un grand beaucoup de tension. Pour faire face à cet environnement difficile, les épargnants n’ont pas d’autre choix que d’affiner leur stratégie et de regarder pour les meilleurs investissements.

Avant l’optimisation

Avant l’optimisation, Guillaume avait 75 % (30 000€) de ses économies sur un PEL et 25 % (10 000€) sur son livret A. Comme nous l’avons dit précédemment, la performance de ses investissements ne couvrait pas l’inflation. Guillaume a reçu environ 675 euros d’intérêt par an .

Après optimisation : diversification et meilleurs investissements pour améliorer les performances à long terme

Bien qu’il soit propriétaire d’un PEL, Guillaume possède déjà sa maison et n’a pas de projet immobilier en vue. Néanmoins, le PEL n’est en aucun cas plus attrayant, étant donné le faible montant qu’il permet d’emprunter (proportionnel aux intérêts perçus) et les taux proposés par rapport à ceux du marché. Il a donc décidé de fermer son PEL et d’ouvrir une assurance-vie et un PEA (régime d’épargne en actions) pour réaffecter son épargne.

Guillaume ne conserve que 5 000 euros sur son livret A, ce qui est largement suffisant pour financer son prochaines vacances et d’éventuels événements imprévus. Ensuite, Guillaume place 30 000 euros sur un fonds euro dans le cadre d’un contrat d’assurance vie gratuit. Enfin, les 5 000 euros restants sont transférés au PEA et investis dans un fonds indiciel (tracker) dont le principe est de surveiller la performance d’un indice boursier global, y compris les dividendes. Bien que Guillaume ait un horizon de placement à long terme, il a une forte aversion pour la volatilité et le risque de perte en capital et décide de ne pas être plus exposé aux marchés financiers (moins de 10% de ses actifs financiers, hors biens immobiliers).

Nous avons déjà présenté l’avantage fiscal de l’assurance-vie (au-delà de 8 ans). Guillaume a également ouvert un PEA pour profiter des avantages fiscaux propres à cette enveloppe (exonération d’impôt sur le revenu si elle est libérée après 5 ans de la PEA). Veuillez noter que les paiements sur le PEA sont plafonnés à 150 000 euros. Guillaume est encore loin de là.

A partir de maintenant, Guillaume va nourrir sa vie assurance et son PEA régulièrement. Guillaume n’exclut pas d’augmenter sa part s’il constate que les marchés sont en baisse. Intuitivement, cela lui donne l’impression qu’il prend moins de risques en achetant moins cher. Il a bien assimilé les bonnes pratiques d’investissement en bourse.

Le résultat pour Guillaume qui veut créer un revenu complet ?

Les investissements de Guillaume devraient générer 1 300 euros par an, sur la base d’un rendement moyen à long terme fluide de 5 % pour sa poche d’actions (estimation prudente). C’est le double de ses gains avant l’optimisation ! Ces gains seront réinvestis chaque année et augmenteront mécaniquement le revenu du capital de Guillaume, qui pourra compter sur plus de 500 euros par mois en 20 ans.

L’ avis de Nicolas  : Plus tard, lorsqu’il aura besoin de vivre de son revenu supplémentaire, Guillaume pourra quitter l’assurance-vie et le PEA en rente. Et sans payer d’impôt sur le revenu sur les gains retiré après 8 ans d’assurance vie et 5 ans de PAE ! Ils sont également d’excellentes enveloppes pour se préparer à la retraite. Il est à noter que les retraits peuvent être effectués en tout temps sur l’assurance-vie, comme sur l’AEP de plus de 8 ans sans rompre l’AEP.

Marc dynamise son patrimoine pour financer ses projets à long terme (éducation des enfants et retraite)

Marc a 41 ans, en couple, père de 2 enfants (7 et 9 ans) et reçoit un salaire de 5 000 euros par mois. Il possède déjà son appartement et a une économie de 250 000 euros. Son profil n’est pas très différent de celui de Guillaume. Marc a simplement une plus grande capacité d’investissement et avec 11 ans de plus, il a naturellement pu développer un plus important.

Investissements actuels de Marc : L’assurance-vie trop facturée de frais

Pendant longtemps, Marc s’est appuyé exclusivement sur les solutions d’épargne offertes par sa banque pour investir son argent. À un regard de plus proche, Marc s’est rendu compte que la performance de son fonds en euros était loin de celle des meilleurs. Sa banque perçoit également des frais de paiement pour lesquels il n’a pas été en mesure de négocier gratuitement malgré les sommes importantes qu’il détient dans l’établissement.

faisant le bilan de sa situation patrimoniale et de ses objectifs, Marc s’est rendu compte que son manque de stratégie et de produits trop chargés de coûts lui ont déjà coûté plusieurs milliers d’euros de profits perdus (« coût opportunité »). Marc a déjà terminé son projet jeunesse (achat de sa résidence principale) et il dispose maintenant d’un horizon d’investissement pour mener à bien des projets futurs (étude des enfants dans 10 ans et retraite dans 20 ans). En conséquence, il peut investir une partie de ses économies sur des investissements plus rentables, dont les avantages sont montrés à long terme : la bourse et l’immobilier. En

Marc veut donc s’orienter vers une répartition plus dynamique de ses économies. En termes concrets, il est préparé de tirer parti des risques (s’exposant à une plus grande volatilité de son portefeuille ), sachant que cela devrait offrir des performances nettement meilleures à long terme. En tant que bon père d’une famille, Marc veut aussi diversifier ses actifs dans différentes catégories d’actifs.

Avant l’optimisation

Avant l’optimisation, Marc a fait placer ses 250 000 euros dans un contrat d’assurance vie multi-support au sein de sa banque. Le fonds euro a produit environ 1,50 % et les frais de paiement ont été de 2 %. Une autre partie de l’encours a été investie dans des unités de compte. Dans ce cas, les fonds d’investissement actifs, qui impliquaient 2 couches de frais : les frais de gestion de fonds (fixe pourcentage sur la performance, jusqu’à 3 %) et les frais de gestion de contrats d’assurance-vie (1 % de frais de gestion).

La somme de tous ces coûts (frais de paiement contrat frais de gestion contractuelle frais de gestion de fonds) finit par représenter un coût important qui alourdit considérablement la croissance de la richesse.

Après optimisation : une allocation dynamique vers des investissements à long terme (projets : étude des enfants et des retraites)

Bon père de famille, Marc conserve une part importante de ses investissements dans des fonds en euros pour le capital garanti. Mais il a décidé d’ouvrir de nouveaux contrats gratuitement sur paiement et de lui permettre d’accéder à des fonds en euros qui fonctionnent mieux que son ancien fonds ces dernières années. En pratique,Marc distribue 150 000€ sur 3 fonds d’euros, auprès de 3 assureurs différents, dont les performances ont atteint environ 2,50 % en 2018. Pourquoi se diversifier entre plusieurs assureurs-vie ? En particulier, pour bénéficier de la garantie de l’assureur , qui a un plafond de 70 000 euros par assureur.

Marc décide également de souscrire 100 000€ en actions de SCPI (sociétés civiles d’investissement immobilier), entièrement financées à crédit. Ceci est dans le but de profiter de l’effet de levier du crédit (pour travailler l’argent que vous ne possédez pas) et de prendre avantage des taux bas. Pour voir concrètement la mise en œuvre et le résultat, vous pouvez consulter notre article présentant l’investissement de 100 000 euros de SCPI à crédit réalisé par Nicolas. Veuillez noter que le rendement des SCRS a été jusqu’à présent de l’ordre de 5 % par année.

En outre, Marc prend l’initiative d’investir 100 000€ en bourse. N’ayant aucune expertise dans ce domaine ou le désir de s’impliquer, Marc décide de déléguer la gestion de ses placements en actions d’assurance-vie en gestion managée . Avec un peu plus d’implication, Marc aurait pu investir directement dans des fonds d’investissement bien cotés (ou des traqueurs pour aller au plus simple et le plus efficace), mais n’ayant ni le temps ni la volonté de s’impliquer dans cette tâche, la gestion gérée est un service intéressant.

Résultat pour Marc qui veut financer les études de ses enfants (dans 10 ans) et sa retraite (dans 20 ans)

A partir de maintenant, Marc fait 50/50 paiements à ses fonds en euros et à son contrat d’assurance vie géré. Avec cette nouvelle allocation, Marc économise plusieurs centaines d’euros de coûts chaque année et devrait atteindre une rentabilité plus élevée de ses actifs grâce à la diversification en actifs plus rémunérateurs (immobilier via SCPI et marchés boursiers via management managé). En fin de compte, il s’agit de plusieurs milliers d’euros de gains supplémentaires par an . Que considérer sereinement l’éducation des enfants et la retraite. En outre, Marc peut également placer et économiser au nom des enfants.

avis de Nicolas L’  : Il est essentiel de réfléchir soigneusement à sa répartition patrimoniale. Investir 100 % dans des brochures ou des fonds à long terme est contre-productif. En effet, profiter de la performance de la bourse et de l’immobilier est beaucoup plus rentable à long terme, comme illustré dans ce graphique. Ainsi, organiser correctement vos actifs (puis optimiser en choisissant les bons produits) fera toute la différence dans le réalisation de vos projets.

Investir bien votre argent : conclusion

Comme nous l’avons montré, il existe plusieurs façons d’investir votre argent. Les investissements et la répartition ciblée des actifs dépendent du profil de l’investisseur, en particulier de ses projets financiers et de son horizon d’investissement. Cependant, il y a des investissements presque essentiels pour optimiser la performance et l’imposition de votre épargne.

Ainsi, l’assurance-vie et le PEA sont deux outils accessibles aux résidents français et terriblement efficaces pour faire croître l’argent. Quant au fonds euro, il est une valeur sûre de faire croître son capital sans risque, il est donc intéressant de préparer un achat immobilier ou tout simplement sécuriser ses économies. Les épargnants ayant une vision à long terme peuvent bénéficier de la bonne performance de l’immobilier et de la bourse.

Les cas pratiques présentés dans cet article sont donnés à titre d’exemples. Vous pouvez apprendre d’eux, mais ils ne sont pas des conseils d’investissement. En fait, chacun a une situation (familiale et professionnelle) différente et des objectifs patrimoniaux différents. Nous vous recommandons d’embaucher un bon conseiller en patrimoine si vous voulez être le mieux conseillé sur la façon de gérer vos placements.

Avez-vous défini votre allocation de patrimoine et souhaitez maintenant diversifier votre patrimoine et investir dans chaque catégorie d’actifs  ? Allez plus loin avec nos articles développant chaque thème :

  • Comment investir dans l’assurance vie et les fonds en euros ?
  • Comment investir sur la bourse ?
  • Comment investir dans l’immobilier ?
  • Comment le taxer ?

La collection de livres Comment investir

Si vous cherchez des cas plus pratiques, nous avons découvert le « Comment investir ? »  ». Son auteur Yann Grandclement est, comme nous, un autodidacte passionné, engagé à populariser l’épargne et à rendre l’investissement accessible à tous.

Comment investir pour les jeunes de 20 à 35 ans ?

Le plus tôt vous acquérez les bons réflexes, le plus facile, il sera de développer votre patrimoine, comme indiqué dans notre graphique ci-dessus. Le livre Comment investir pour les jeunes de 20 à 35 ans est très inspirant, bien écrit et avec des situations concrètes. Chaque lecteur peut s’identifier avec un modèle d’investissement (mais il ne faut pas oublier de diversifier) illustré à travers 4 histoires pour 4 projets différents. En outre, nous avons apprécié la réflexion sociologique en introduction pour expliquer le contexte et les problèmes de la génération 1985-2000.

Foire aux questions pour investir votre argent

Comment investir votre argent pour préparer un achat immobilier ?

Pour préparer sereinement un achat immobilier, il est nécessaire d’obtenir la contribution. Et dans ce cas, la solution d’épargne la plus adéquate est le fonds euro. Les meilleurs fonds en euros d’assurance vie offrent des performances supérieures à l’inflation et des performances bien supérieures à livrets réglementés, tout en étant sécurisé (aucun risque de perte en capital). En pratique, vous pouvez retirer votre argent quand vous le souhaitez, mais il est important d’ouvrir le contrat d’assurance-vie le plus rapidement possible afin de bénéficier plus rapidement des exonérations fiscales sur les gains en capital.

Pourquoi l’assurance-vie est-elle la solution privilégiée par les Français pour investir ?

Avec plus de 1800 milliards d’euros en circulation, l’assurance vie est l’investissement financier préféré des Français. D’une part, cet investissement bénéficie d’un régime fiscal particulièrement attrayant. D’autre part, elle permet de répondre aux nombreuses attentes des épargnants : des fonds en euros pour sécuriser le capital, ou des unités de compte pour stimuler sa richesse sur des produits financiers à long terme plus efficaces. En outre, la meilleure assurance vie est gratuite sur paiement et les retraits sont gratuits.

Quels sont les meilleurs investissements (les plus rentables) ?

Historiquement, avec des rendements annuels moyens supérieurs à 7 % et 5 % respectivement, les actions et l’immobilier sont les 2 principales catégories d’actifs présentant les performances à long terme les plus élevées. Toutefois, ces catégories d’actifs sont volatiles (cycles haussiers et baissiers) et ne sont donc recommandées que dans le cadre d’un investissement à long terme (8 ans et plus), par exemple dans le cadre de la préparation à la retraite.

Comment se préparer financièrement à la retraite ? Afin de

se préparer à la retraite, il est nécessaire de prioriser les solutions avec des avantages fiscaux significatifs afin de développer votre patrimoine puis de payer un revenu passif. Il s’agit notamment de l’assurance-vie, du régime d’épargne-actions (PEA) et du régime d’épargne-retraite (RAP). L’assurance-vie est le véritable couteau suisse de l’épargne. Il permet l’investissement dans une multitude de catégories d’actifs (fonds en euros, actions, immobilier, etc.), et les retraits et paiements peuvent être effectués sans contrainte. L’offre PEA et PER également des avantages importants, dont la valeur doit être déterminée au cas par cas en fonction du profil de l’épargnant.

Comment puis-je obtenir de l’aide pour diversifier mes placements ?

Il existe une multitude de produits financiers : fonds en euros, fonds d’actions, trackers, SCPI, OPCI, etc. Chacun a un profil particulier en termes de risque, de rendement et de liquidité. Les épargnants sont souvent privés de cette complexité et de tout ce jargon. Heureusement, il existe des services de gestion gérés, vous permettant de déléguer la gestion de vos économies à des experts. Ces professionnels de l’investissement sont chargés de déterminer votre profil d’investisseur et de répartir votre épargne de manière optimale. En outre, vous pouvez également être conseillé par un conseiller en gestion de patrimoine (CGP).

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